Chaque matin d’un bond
le soleil prend pied dans mon visage.
Je m’empare de cette brûlure comme d’un gouvernail.
Par : Lorand Gaspar
Je te respire tourné vers tous les azimuts, contemplatif et absent, envoûté,
telle une balançoire illusoire, dérisoire, qui jouerait au pendule dans les méandres de la patience,
avec pour seul espoir de voir apparaître le tourbillon de fleurs et de
flammes qui valsent au rythme de tes bondissantes et hallucinatoires enjambées.
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Sievushka (Xavier ZIMBARDO)
Extrait de "Une étoile sur tes lèvres"